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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 11:11
Le bambou est un materiau tendance,mais attention aux enseignes qui detournent ce dernier à des fins stratégiques et purement financières.
Tout d'abord vous devez verifier que ce bambou soit issu du commerce équitable.Car rien de pire que l'emploi d'enfants et l'exploitation des familles asiatiques pour surfer sur la tendance.
Le produit à base de bambou doit etre également fabriqués sans produits chimiques (colles,peintures,laques,teintures).Exigez du naturel
Enfin il faut s'assurer que le bambou ne pousse pas dans des zones qui ont ete deforestés pour permettre de répondre à la demande.

Autant de points essentiels et que seuls de vrais professionnels peuvent vous garantir,avec des labels garantis.
Preferez aussi les petites marques transparentes,qui travaillent avec des coopératives locales

Je vous invite à découvrir les produits sur le lien ci-dessous


link
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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 08:42

Encore une bonne nouvelle qui vient de l'EU.
Après avoir légiféré sur la disparition progressive des ampoules traditionnelles(voir article sur la fin des ampoules du 04/01),cette dernière s'attaque maintenant à la veille des appareils électrique.

Tous nos appareils éléctriques veillent sur nous et sont toujours prets à répondre à la moindre sollicitation de la télécommande ! Mais ils consomment en moyenne 300 kWh/an. 

L'Europe a donc décidé de se pencher sur la question pour aboutir la semaine dernière à la publication d'un règlement devant réduire de près de 75 % la consommation d'électricité en mode veille d'ici à 2020 dans l'Union. Ces économies sont comparables à la consommation électrique annuelle du Danemark», précise la Commission européenne, ou encore «à 10 % de la consommation française».

Le règlement qui entrera en vigueur l'an prochain est déjà respecté par de nombreux fabricants. Il prévoit que la consommation d'électricité des appareils en veille devra être inférieure à 1 watt ou 2 watts à partir de 2010 et entre 0,5 watt et 1 watt en 2013.

 


Pour rappel l'Europe s'est engagée à améliorer de 20% son efficacité énérgétique d'ici à 2020.

Nous sommes tous acteurs de cette amélioration.
Placons ces petits coupe circuit du type "ecobutton" et "coxiwatt",ils réduiront encore plus nos consommations.
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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 19:27
Alors que des solutions eprouvées existent pour économiser l'énergie et dans le meme temps créer des emplois,nous nous entetons toujours et ce grace aux fameux lobbies très influents et pleins de bons conseils aupres de notre classe politique,à construire du n'importe quoi.
Les programmes de construction sont toujours aussi peu tournés vers la preservation du climat.
Il existe pourtant une maison passive,très econome:

La maison passive est un moyen de réduire la consommation d'énergie (low-energy-house, ou maison basse conso, ou maison basse énergie). On désigne généralement par maison passive un bâtiment qui est pratiquement autonome pour ses besoins en chauffage. Il se contente des apports solaires, des apports métaboliques (habitants, machines) et d'une bonne isolation, ce qui relègue le rôle du chauffage à un simple appoint. La norme allemande "Passivhaus" est accordée à partir d'un besoin de chauffage inférieur à 15 kWh/m²/an, et un besoin de moins de 50 kWh/m²/an d'énergie finale (les 15 kWh/m²/an du chauffage + l'énergie nécessaire au chauffage de l'eau + l'électricité consommée par la ventilation + climatisation+électricité domestique). Un besoin calorifique aussi faible signifie qu'en pratique ces habitations n'utilisent un système de chauffage que quelques jours par an (et non pas qu'elles ont besoin d'une chaudière miniature). En comparaison, les logements des années 1960 et 1970 nécessitent en moyenne, 320 kWh/m²/an.

La norme fixe également des exigences minimales au niveau de la résistance thermique des différents éléments de l'ouvrage (murs, fenêtre, toit, etc.), cependant, il est possible d'obtenir les performances d'une maison passive sans pour autant respecter ces exigences. En effet, il y a deux manières de réduire les besoins énergétiques :

  • la première consiste à isoler le bâtiment pour diminuer ses pertes, c'est la surisolation, qui utilise par exemple des triples vitrages et des épaisseurs d'isolant de plusieurs dizaines de cm.
  • la seconde consiste à augmenter les apports solaires, c'est le bioclimatisme, qui cherche plus à capter mieux qu'à perdre moins (puisque l'énergie est gratuite et renouvelable).

La plupart du temps, une maison passive est le résultat de ces deux méthodes, mais la norme Passivhaus et le label MinergieP suisse (sensiblement équivalent) penchent toutes deux plus du côté surisolation. La limite de cette démarche est son coût, car les grandes épaisseurs d'isolants et les vitrages performants ne sont pas bon marché.

Enfin, puisque les besoins sont diminués, la part des apports internes dus aux occupants de la maison et à leurs activités n'est plus négligeable, et au contraire devient un apport important. C'est pour ces raisons qu'on utilise le terme de "passif" car la majeure partie des besoins de chauffage sont remplis automatiquement, sans appareil mécanique ni surveillance ou programmation.



Tournons nous vers ces vrais economies d'enregies,et poussons nos politiques à inverstir dans ces constructions.
A quand des programmes de logements sociaux de ce type? qui auraient aussi pour gros interet de diminuer le budget energetique de familles à faible revenu !

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 19:26

Nous tous blogueurs sommes des utilisateurs de PC donc des acheteurs potentiels de ce petit appareil qui nous aidera tous à rejeter moins de CO2 en economisant l'energie.

Ce petit appareil c'est l'ecobutton


L'écobutton fonctionne comme un rappel visuel très présent et vous pousse à économiser l'électricité chaque fois que votre ordinateur va être inutilisé.

L'écobutton est allumé et se situe sur votre table/bureau près de votre clavier. Il est connecté à votre ordinateur par un câble USB.

A chaque fois que vous vous arrêtez, que ce soit pour longtemps ou non, pour un coup de téléphone, une réunion, etc.., vous n'avez qu'à appuyer sur l'écobutton et votre ordinateur est mis en " écomode" ce qui permet à votre ordinateur et à votre moniteur de consommer la même électricité que s'ils étaient éteints !

Dans des conditions normales, les gens n'aiment pas en général éteindre leurs ordinateurs en raison du temps souvent nécessaire au redémarrage. Cependant, avec L'écobutton, une simple pression d'une touche du clavier (certains ordinateurs ont besoin d'une pression sur le bouton d'allumage), votre ordinateur se remet instantanément là où vous l'aviez laissé.

Il y a également un autre avantage: à chaque fois que votre ordinateur est placé en " écomode", le logiciel intelligent ecobutton™ enregistre la quantité de carbone, d'électricité et d'argent que vous avez économisés en utilisant ecobutton™. Avec le temps, cela peut atteindre des quantités significatives (notamment si de nombreux ordinateurs fonctionnent dans un bureau) et vous pouvez utiliser ces données pour aider à réduire votre empreinte écologique tout comme vos factures d'électricité.

En chiffre cela nous donne:
Un particulier utilisant un seul ordinateur peut contribuer de manière efficace à la protection de l'environnement en économisant *135kg de carbone par an et environ *40 à 60 euros d'électricité par an en utilisant l'écobouton régulièrement. Pour un appareil qui vaut environ 25 Euros,en 6 mois il est amorti.



Faites le geste utile,la fonction controle des economies financieres permet de se motiver très rapidement.
Un bonne idee de cadeau de quoi equiper tout ces PC gourmands en energie:

Vous le trouverez sur mes liens favoris

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 10:59

Nous tuons nos enfants en leur donnant le biberon!

Relayez cet article,changez vos biberons


Et soudainement, les médias se réveillèrent. Après l’annonce, à la mi-avril, par le gouvernement canadien, d’interdire le bisphénol-A dans les biberons, les journalistes français commencent progressivement à se pencher sur ce polluant chimique présent dans de nombreux objets de consommation courante.

C’est RTL qui a ouvert le feu mercredi 7 avril. Aujourd’hui, Libération consacre un article à la question (lire ci-dessous). “Les Canadiens ne savent plus à quel biberon se vouer”, titre le quotidien, qui rapporte une rupture de stock sur les biberons en verre dans le pays. Exactement comme cela avait été le cas en Californie, après la publication du rapport d’une organisation environnementale américaine, Environment California, en février 2007.

Libération nous apprend également que Didier Houssin, le directeur général de la Santé (dépendant du ministère), a déclaré sur Europe 1: “Ne jetez rien”. Nous voilà rassurés. On peut donc continuer à chauffer le lait dans les biberons en France, alors que cela est considéré dangereux pour la santé des enfants de l’autre côté de l’Atlantique.

Ah, et aussi, cette même direction générale de la santé a commandé un rapport à l’Agence française de sécurité sanitaires des aliments (AFSSA). Un problème ? Un rapport ! Encore cette grande et déplorable habitude française de retarder une prise de décision difficile. Des rapports et des études sur le bisphénol-A, ce n’est pourtant pas ce qui manque. Mais peut-être nos experts et nos ministres ne parlent-ils pas anglais.

St.H.

Les Canadiens ne savent plus à quel biberon se vouer
Ottawa va interdire les récipients pour bébés à base de bisphénol A.
De notre correspondante au Québec EMMANUELLE LANGLOIS
QUOTIDIEN : lundi 12 mai 2008

Vent de panique dans les familles canadiennes. Des milliers de parent craignent d’avoir empoisonné leurs enfants à leur insu. Sans crier gare, le gouvernement canadien a annoncé son intention d’interdire la commercialisation des biberons contenant du bisphénol-A (BPA) : cette substance renfermée dans certains plastiques et désormais considérée comme « toxique » par les autorités du pays.

Produit chimique

Immédiatement, de nombreuses enseignes ont pris l’initiative de retirer les biberons, gobelets et assiettes de plastique contenant du BPA de leurs rayons. Pas de quoi rassurer les parents. « J’ai jeté tout ce qui était susceptible de contenir du BPA, lance Tabitha Rondeau, mère de deux enfants. Je suis vraiment choquée de constater que le gouvernement n’a pas pris cette décision plus tôt. » Un point de vue que partage Mélanie Bergeron. Cette maman est cependant davantage troublée par le fait que les fabricants de biberons n’ont pas attendu l’interdiction officielle de ce produit chimique pour retirer toutes leurs marchandises contenants du bisphénol A des rayons. « Sans doute veulent-ils nous prouver qu’ils se sentent concernés, mais ils auraient dû l’être bien avant : les études montrant les effets néfastes du BPA sur le système endocrinien sont connues depuis longtemps. » Comme beaucoup de mères, dès l’annonce gouvernementale, Mélanie a voulu acheter des biberons en verre. En vain. « J’imagine que tous les parents de jeunes enfants se sont précipités dans les magasins. Résultat : les étagères sont vides et trouver un biberon sans BPA est devenue mission impossible. » Comme elle, Ariana Moralès ne décolère pas. « On veut ce qu’il y a de mieux pour nos enfants alors savoir qu’une entreprise a permis qu’ils soient exposés à des produits dangereux sans nous en aviser est intolérable. »

Dans la foulée, l’avocat David Bourgoin a déposé des demandes d’exercer des recours collectifs contre trois fabricants de biberons. « Les compagnies Playtex, Gerber et Avent sont montrées du doigt pour n’avoir pas indiqué aux consommateurs que leurs biberons pouvaient présenter un risque pour les enfants, précise-t-il. Le BPA contenu dans le plastique migre dans le lait lorsque le biberon est chauffé ou si un liquide bouillant est versé, et ils auraient dû en avertir les acheteurs. » Nadia Rodrigue, bien qu’inquiète du fait que la santé de son fils puisse avoir été altérée, n’ira pas jusqu’à se rallier à la cause. Elle regrette toutefois de trouver peu d’informations sur les conséquences de ce produit chimique sur la santé humaine. « Le Canada est le premier pays au monde à se prononcer en faveur de l’interdiction du BPA. Peut-être qu’on s’affole trop vite », suggère-t-elle.

Appréhensions

Les autorités sanitaires canadiennes ne sont pourtant pas les seules à s’intéresser de près au BPA. Leurs homologues américaines s’inquiètent également des effets de cette substance sur la santé. Un groupe d’experts du National Toxicology Program vient d’admettre avoir certaines appréhensions quant aux effets des niveaux actuels de BPA se retrouvant dans l’alimentation sur les systèmes nerveux et hormonal des fœtus et des nouveau-nés. Comment les autorités doivent-elles se comporter à l’égard de produits auxquels l’être humain est exposé à faible dose ? Si l’on en croit la position canadienne, la prudence est de mise.
© Libération

——

Second article dans la même édition de Libération.

Faut-il alerter tous les bébés ?
E.L. QUOTIDIEN : lundi 12 mai 2008

La France va-t-elle à son tour crier haro sur le bisphénol-A (BPA), utilisé par de nombreuses marques de biberons ? « On ne change rien », « ne jetez rien », et on peut « continuer à chauffer le lait » des bébés s’est empressé de rassurer sur Europe 1, Didier Houssin, directeur général de la Santé, tandis qu’une étude a été commandée à l’Agence française de la sécurité sanitaire des aliments (Afssa).

Dans l’attente, on sait que le bisphénol-A, un produit chimique industriel appartenant à la famille des composés organiques aromatiques, est utilisé dans la fabrication du polycarbonate, un plastique rigide employé dans la confection de biberons, de récipients destinés aux fours à micro-ondes et à la conservation. Il est aussi utilisé dans la production de résines époxy servant d’enduit de protection à l’intérieur des cannettes, des conserves ou des conteneurs afin de prévenir la corrosion.

Mis au point à la fin du XIXe siècle, le BPA soulève des inquiétudes depuis la fin des années 90. Sa structure est proche de celle de l’œstrogène. Il peut donc circuler dans le sang et déclencher des réactions inattendues. Certains scientifiques avancent qu’il pourrait provoquer une puberté précoce. Son lien avec certaines formes de cancer a par ailleurs été établi chez les animaux.

Il est toutefois difficile de déterminer dans quelle mesure il peut être dommageable pour l’homme sans étude à grande échelle.

Retrouvez également un reportage sur le meme sujet sur le site de France2:
link

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 20:32
Qu'est-ce qui se cache derrière ces lettres...!?
Le Sodium Lauryl Sulfate (SLS ) et  le Sodium Laureth Sulfate (SLES).

Le Sodium Lauryl Sulfate (SLS) et le Sodium Laureth Sulfate (SLES) sont communement appelésutilises dasn beaucoup de savons,shampoings,detergents,dentifrices et des produits moussants.Ce sont des agents moussants  ou tensio actifs.

Le SLS et le SLES  sont des esters d'acide sulfurique-le  SLS est aussi appele "Sel de sodium d'ester de monodecedyl d'acide sulfurique".

En fait il y a plus de 150 noms différents ,de quoi tromper tous les consommateurs.
 En fait, SLES est généralement souillé avec du dioxane, un carcinogène connu. Bien que SLES soit légèrement moins irritant que le sulfate laurique de sodium, il ne peut pas être métabolisé par le foie et ses effets sont donc beaucoup plus durables. Un rapport a publié au journal de l'université américaine de la toxicologie dans 1983 a prouvé que des concentrations aussi basses que 0.5% pourrait causer l'irritation et les concentrations de 10-30% ont causé la corrosion  de la peau et l'irritation grave. 
Plus de 80 produits contiennent le sulfate laurique de sodium. Quelques savons ont des concentrations jusqu'à 30%, que le rapport d'ACTE a appelé " ; fortement irritatant et dangereux" .
Les shampooings sont parmi  les produits les plus souvent  en cause. Les rapports incluent l'irritation d'oeil, l'irritation de cuir chevelu,les  gonflement des mains. La cause principale de ces problèmes est sulfate laurique de sodium.

Alors pourquoi en trouvons nous dans tous ces produits ?

Pourquoi un produit chimique dangereux comme le sulfate laurique de sodium est employé dans nos savons et shampooings ? La réponse est simple - il est bon marché.
Le sulfate laurique de sodium trouvé dans des nos savons est exactement identique à celui que vous trouveriez dans un lavage de voiture ou même un garage, où il est employé pour dégraisser des moteurs de voiture. Comme il dissout la graisse sur des moteurs de voiture, le sulfate laurique de sodium dissout également les huiles sur votre peau, qui peut causer un effet de séchage.
Il est également bien documenté qu'il dénature des protéines de peau, qui cause non seulement l'irritation, mais permet également aux contaminants environnementaux un accès plus facile aux couches inférieures et sensibles de la peau. Peut-être le plus importunément, le SLS est également absorbé dans le corps lors de  l'application sur la peau. Une fois qu'il a été absorbé, un des effets principaux du sulfate laurique de sodium est d'imiter l'activité des hormones oestrogènes . Ceci a beaucoup d'implications sur la santé et peut être responsable d'une série de problèmes de PMS (Premenstrual syndrome )et de symptômes ménopausiques,de faire chuter la fertilité masculine  et accroitre les  cancers feminins tels que le cancer du sein, où des niveaux d'oestrogène sont connus pour être impliqués.


Encore une fois mefiez vous du Bio,qui peut cacher de telles substances.

Lisez et decriptez les étqiuettes.

Article traduit de:

http://www.natural-health-information-centre.com/sodium-lauryl-sulfate.html

Les effets connus des SLS et SLES:

http://www.natural-health-information-centre.com/sls-health-implications.html

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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 16:51

Bonne nouvelle de l'Europe
les ampoules de 100 Watt et plus ne seront plus commercialisées sur le territoire de l'UE dès le 1er septembre 2009.

L'Union européenne (UE) a publié un calendrier visant à supprimer la commercialisation de ces ampoules. Dès le 1er septembre 2009, les ampoules traditionnelles de 100 watts et plus disparaîtront des magasins de l'UE. Un an plus tard, ce sera au tour de celles de 75 watts, puis 60 watts l'année suivante. Celles de moins de 60 watts ne seront plus vendues à partir du 1er septembre 2012. Et ce n'est pas tout : les halogènes les moins performantes cesseront d'éclairer les maisons en 2016.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de l'amélioration de l'efficacité énergétique du plan climat. L'ampoule, très satisfaisante en matière d'éclairage, ne transforme en effet que 5% de l'électricité qu'elle consomme en lumière, le reste se dissipant en chaleur. La Commission a calculé qu'en troquant les ampoules classiques pour des ampoules «basse consommation», jusqu'à 80% moins gourmandes en énergie, les ménages peuvent économiser 50 euros en moyenne par an.

À l'échelle de l'UE, l'économie se chiffrerait entre 5 et 10 milliards d'euros chaque année.

Une bonne initiative,mais pourqoui attendre si longtemps!!

Nous pouvons tous changer nos ampoules à filament pour des LED ou autres ampoules fluos compactes.
LEs economies parlent seules
L’éclairage représente pour un foyer moyen de 4 personnes une dépense de 560 Kwh par an, soit une facture de plus de 50 euros.
Une lampe halogène d’une puissance de 350W utilisée 3h par jour consomme 380 kWh par an, soit 41 eurosSi vous le remplacez par 4 lampes à basse consommation de 15W, ce qui est largement suffisant, vous économisez 34 euros par an

Le prix d’achat moyen d’une ampoule fluocompacte est de 4, 50 euros à 15 euros en fonction du modèle. En remplaçant 4 ampoules classiques de 60W par 4 ampoules basse consommation de 15W (équivalent à 75W en ampoule classique), vous économisez 196 kWh, soit 21 euros par an. L’investissement d’environ 38 euros sera remboursé en 2 ans alors que les ampoules dureront 9 ans. Pour une maison équipée avec 10 ampoules équivalentes, cela génère une économie annuelle de 42 euros, y compris l’amortissement de l’achat des ampoules.

Par ailleurs, les ampoules fluocompactes consomment de 25 à 50 fois moins qu’une ampoule halogène.



ALORS

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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 15:24

La definition selon Wikipedia

La souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996 . Il a depuis été repris et précisé par les altermondialistes lors des différents Forums Sociaux Mondiaux.

La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux pays ou aux groupes de pays de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un impact négatif sur les populations d'autres pays. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC.

Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et la problématique de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier.

Au niveau local, la souveraineté alimentaire favorise le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle doivent être favorisées, du fait de leur plus grande efficacité économique, sociale et environnementale, comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés.

La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture.

Une agriculture à favoriser

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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 14:55
A la sortie de cette periode de fete,nous avons pour la plupart tous mangés ces superbes et grosses crevettes ou gambas.
Connaissez-vous l'origine de ces crevettes et les conditions dans lesquelles elles sont élevées,ainsi que les impactes sur l'écologie locale ?

Les élevages de crevettes de tous types, de l'extensif à l'hyper-intensif, peuvent causer de graves problèmes environnementaux où qu'ils soient situés. Pour les fermes extensives, d'immenses surfaces de mangrove ont été défrichées, réduisant ainsi la biodiversité. Dans les années 1980 et 1990, environ 35% des forêts de mangrove ont disparu dans le monde. L'élevage des crevettes en fut la première cause, une étude lui attribue plus d'un tiers de ces destructions, d'autres études évaluent cette responsabilité entre 5 et 10% globalement, avec d'importantes variations régionales. Les autres facteurs de destruction de la mangrove sont la pression démographique, l'exploitation forestière, la pollution provoquée par d'autres activités, ou sa transformation à d'autres usages tels que des marais salants. Les plantes de la mangrove, par l'intermédiaire de leurs racines, contribuent à stabiliser la ligne côtière et à fixer les sédiments ; leur destruction a entraîné une augmentation sensible de l'érosion et un affaiblissement des protections contre les crues. Les estuaires à mangrove sont aussi des écosystèmes particulièrement riches et productifs et procurent des zones de frai à de nombreuses espèces de poissons, y compris des espèces importantes sur le plan commercial. Beaucoup de pays ont protégé leurs mangroves et interdisent la construction de nouvelles fermes d'élevage de crevettes dans les zones d'estran ou de mangrove. L'application des lois est souvent problématique et la transformation des mangroves en fermes aquacoles reste un problème, particulièrement dans les pays les moins développés comme le Bangladesh, le Myanmar ou le Viêt-Nam.

Bien qu'ils diminuent l'impact direct sur la mangrove, les élevages intensifs ont d'autres inconvénients. Leurs effluents riches en éléments nutritifs (les aliments industriels pour crevettes se désintègrent rapidement, seulement 30% sont réellement consommés par les crevettes, le reste est perdu) sont généralement déversés dans l'environnement, déséquilibrant gravement l'équilibre écologique. Ces eaux usées contiennent des taux significatifs d'engrais chimiques, de pesticides (utilisés pour désinfecter les étangs entre deux usages) et d'antibiotiques qui provoquent une pollution grave de l'environnement. En outre, ce rejet d'antibiotiques les introduit dans la chaîne alimentaire et augmente le risque de voir des organismes devenir antibiorésistants.

L'utilisation prolongée d'un étang entraîne la formation progressive d'une boue toxique dans le fond du bassin à partir des excréments et des produits perdus. La vidange d'un étang ne chasse jamais complètement cette boue, et l'étang finit par être abandonné, laissant une zone inculte dont le sol est rendu inutilisable à toute autre fin à cause de la teneur élevée en sel, en acidité et en produits chimiques toxiques. Un étang en élevage extensif ne peut servir que quelques années. Une étude indienne évalue à 30 ans environ le temps de restitution de tels terrains. La Thaïlande a interdit depuis 1999 les élevages de crevettes à l'intérieur des terres car ils provoquent trop de destruction de terres agricoles par salinisation des sols. Une étude thaïe estime que 60% des surfaces d'élevage aquacole de crevettes en Thaïlande ont été abandonnées dans la période 1989 - 1996.

Le caractère mondialisé du secteur de l'élevage aquacole des crevettes et en particulier l'expédition de géniteurs et de produits d'alevinage dans le monde entier a non seulement introduit diverses espèces de crevettes comme espèces exotiques, mais aussi diffusé les maladies que les crevettes peuvent véhiculer partout dans le monde. De nombreuses organisations s'emploient à dissuader les consommateurs d'acheter des crevettes d'élevage. Certaines cherchent à promouvoir la mise au point de méthodes d'élevage plus durables. Un programme conjoint de la Banque mondiale, du Network of Aquaculture Centres in Asia-Pacific (NACA), du WWF et de la FAO a été lancé en août 1999 pour étudier et proposer des procédés améliorés pour l'élevage des crevettes. Certaines tentatives d'élevages « durables », tournés vers l'exportation, commercialisant les crevettes comme « produites écologiquement » sont critiquées par les ONG qui les considèrent comme un habillage peu sérieux et malhonnête.



Sans compter, les antibiotiques que nous ingérons sans le savoir via ces crevettes!!!


Autant de raison pour arréter d'importer et de consommer ces petites betes.

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3 janvier 2009 6 03 /01 /janvier /2009 18:55
Le plastique nous devons essayer de la banir de notre panier en y préferant les emballages en verre,fer ou bien encore en aluminium.Ces 3 catégories d'emballages se recyclent facilement et le circuit est bien rodé.La preuve par ces chiffres de Eco-emballage:

Les performances de recyclage par matériau (en pourcentage du gisement contribuant) :

  • Acier : 99%
  • Aluminium : 28,1%
  • Papier-carton : 55,6%
  • Verre : 74,9%


La complexité des matières plastiques,sa taille et autre ne permet pas un recyclage optimum,puisqu'en 2007 seulement 21% des plastiques d'emballages ont ete recyclés.Ce qui veut dire,enfouissement ou incinération.
Quelques chiffres sur le recyclage des plastiques les plus communs:

 1tonne de plastique PET recyclé permet de diminuer les rejets de 2,29 T éq. CO2.

1 tonne de plastique PEHD recyclé permet de diminuer les rejets de 1,53 T éq. CO2.

Que DEVONS nous trier dans nos plastiques:

Seuls les bouteilles et flacons en plastique se recyclent

  • Alimentaire :
    bouteilles de soda, d’eau, d'huile, de lait, de soupe, flacons de mayonnaise, de sauce tomate, conteneurs à vin …
  • Flacons de produits ménagers :
    adoucissant, lessive, liquide-vaisselle…
  • Flacons de produits d’hygiène :
    shampoing, bain moussant, gel douche...

    Mais ce n'est rien en rapport du trop peu de plastiques recyclés.

    Le commerce de proximité et les rayons à la coupe sont de bonnes pistes,ou encore le commerce sur internet ecocitoyen avec des sites qui s'engagent sur la reduction des plastiques,et n'utilisent que des emballages recyclés(à voir dans mes liens preferes).Ces derniers permettent une reduction toute naturelle du plastique,contribuent à la vie de nos villes et de nos campagnes.Mais aussi en en vous rendant dans ces commerces,vous utilsez beaucoup moins votre voiture,donc vous faites une geste supplémentaire pour la planéte,et pour votre budget essence. 
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